Assurer la santé des animaux d’élevage

  • Programme de services vétérinaires destiné aux éleveurs
  • Visite sanitaire en élevage
  • Biosécurité
  • Maladies des animaux d’élevage
  • Guides et ateliers sur la santé des animaux d’élevage
  • Urgences

  1. Programme de services vétérinaires destiné aux éleveurs
    Le programme de services vétérinaires facilite l’accès à ce type de soins pour les producteurs qui élèvent des animaux pour la production alimentaire ou la fibre textile. Le programme a été actualisé en 2022 pour améliorer l’accès aux conseils vétérinaires.
    Le programme donne accès à des services comme :
    • des consultations gratuites en télémédecine;
    • des médicaments sur ordonnance;
    • certains services à la ferme;
    • des fonds pour les consultations vétérinaires privées (maximum de 1 000 $ par année).
    L’inscription au programme est gratuite et renouvelée d’office chaque année.
     
     

    Les espèces d’animaux d’élevage admissibles sont :

    • bisons;
    • bovins (de boucherie ou laitiers);
    • wapitis;
    • poissons;
    • chèvres;
    • lamas et alpagas;
    • volailles (poulets, dindons, canards, oies, cailles);
    • lapins de chair;
    • moutons;
    • porcs;
    • yaks.


    Pour les propriétaires de six volailles ou moins, la couverture maximale s’élève à 250 $ par année. Les chevaux ne sont pas couverts par le programme, car ils ne sont pas élevés aux fins de consommation au Yukon.

    S’inscrire au Programme de services vétérinaires

    1. Remplissez le formulaire de demande d’ouverture de dossier du Programme d’identification des installations.
    2. Envoyez-le à agriculture-livestock@yukon.ca.
    3. Vous recevrez un numéro d’identification dans les deux jours ouvrables.
    4. Remplissez le formulaire d’inscription au programme de services vétérinaires du Yukon. Indiquez-y le numéro d’identification que vous avez reçu.
    5. Transmettez ou déposez le formulaire d’inscription.

                  Par courriel : animalhealth@yukon.ca
                  En personne : 10, Burns Road, Whitehorse. Heures d’ouverture : du lundi au                                       vendredi, de 8 h 30 à 16 h 45.
                  Par télécopieur : 867-393-6263
                  Par la poste :

                  Gouvernement du Yukon
                  Section de la santé animale (V-7)
                  C.P. 2703
                  Whitehorse (Yukon)  Y1A 2C6

    Vous recevrez la confirmation de votre inscription par téléphone ou par courriel.

    Comment puis-je prendre rendez-vous pour une consultation en télémédecine?

    Écrivez à animalhealth@yukon.ca ou appelez au 867-667-5600 ou (sans frais au Yukon) au 1-800-661-0408, poste 5600.


  2. Visite sanitaire en élevage

    Les visites sanitaires donnent à l’éleveur le temps d’échanger avec un vétérinaire sur :

    • les risques pour la santé de ses animaux;
    • la gestion de son élevage.


    Ces visites peuvent durer d’une heure à une demi-journée, selon la taille de l’élevage.

    Durant la visite, l’éleveur et le vétérinaire examinent ensemble :

    • l’état de santé des animaux;
    • les installations;
    • les registres de l’exploitation agricole.


    Le vétérinaire peut vous aider à mettre au point un plan de santé du troupeau, c’est-à-dire un programme de santé adapté à votre élevage. Les plans de santé ont pour objectif :

    • d’offrir aux animaux des soins de grande qualité;
    • de réduire la mortalité attribuable à des problèmes de gestion ou à des maladies.


    Le plan de santé du troupeau est adapté à chaque élevage et peut couvrir divers aspects de votre production, notamment :

    • la gestion de l’alimentation et de la nutrition;
    • la gestion des bâtiments d’élevage (du logement) et des pâturages;
    • la vaccination et les mesures antiparasitaires;
    • le traitement des maladies;
    • le nettoyage et la désinfection;
    • la gestion de la reproduction;
    • la biosécurité et la salubrité des aliments;
    • les systèmes de tenue des registres.

    Pourquoi ces visites sanitaires sont-elles importantes?

    Parce qu’elles :

    • améliorent la santé et la productivité des élevages;
    • réduisent les conséquences des maladies et des conditions qui influencent la productivité des exploitations;
    • permettent de comparer les données sur les productions animales;
    • permettent une amélioration continue des exploitations agricoles;
    • donnent accès à l’expertise d’un vétérinaire afin d’améliorer les pratiques relatives à la gestion de l’élevage, notamment en ce qui concerne la nutrition, le logement des animaux et la biosécurité;
    • permettent au vétérinaire d’établir un lien de confiance avec l’éleveur et de connaître les animaux qu’il soigne (nécessaires pour prescrire des médicaments aux animaux de l’élevage);
    • optimisent les visites ultérieures du vétérinaire;
    • permettent au vétérinaire de mieux comprendre votre élevage;
    • permettent au vétérinaire d’observer les animaux dans leur environnement – leurs habitudes jouent un rôle important dans leur santé globale.

    Planifier et préparer une visite sanitaire

    Pour tirer le maximum d’une visite sanitaire :

    • communiquez avec un vétérinaire pour prendre rendez-vous et demandez-lui s’il a des instructions particulières à vous donner;
    • préparez la liste des problèmes liés à la santé de vos animaux ou à la gestion de votre production;
    • mettez à jour vos registres d’exploitation agricole (s’il y a lieu) aux fins d’examen par le vétérinaire;
    • assurez-vous que les médicaments et autres produits requis pour les traitements soient à portée de main;
    • assurez-vous que l’accès aux bâtiments d’élevage est dégagé et que les installations sont bien éclairées.

    Pour obtenir de plus amples renseignements sur les visites sanitaires, consultez les documents suivants :


  3. Biosécurité

    Biosécurité, mais qu’est-ce que c’est?

    La biosécurité : 

    • permet de protéger son investissement;
    • donne l’occasion de réfléchir à la santé de ses animaux.

    Un plan de biosécurité permet d’identifier les éléments à risque.

    Qu’est-ce qu’un plan de biosécurité?

    Un plan de biosécurité permet de prévenir l’introduction de maladie sur votre ferme ou leur propagation à partir de celle-ci. Il comprend des mesures :

    • de prévention;
    • de réduction des risques;
    • d’éradication.

    Il doit couvrir trois secteurs importants :

    • la gestion de l’accès à la ferme;
    • la gestion de la santé animale;
    • la gestion de l’exploitation.

    Le vétérinaire peut vous aider à élaborer un plan de biosécurité au moment d’une visite sanitaire.

    Qui est concerné par les mesures de biosécurité?

    Pour qu’un plan de biosécurité soit vraiment efficace, il faut que toute personne qui visite les installations soit informée de la marche à suivre. Parmi ces personnes, notons :

    • l’éleveur, sa famille et ses employés;
    • les vétérinaires;
    • les visiteurs;
    • les livreurs (fournisseurs d’aliments pour animaux, etc.).

    Comment renforcer la biosécurité à la ferme?

    De nombreuses mesures de biosécurité sont très simples et vous en appliquez certainement déjà plusieurs). En voici quelques exemples :

    Gestion de l’accès à la ferme

    • Tenir un registre des visiteurs.
    • Garder un dossier pour chaque animal (y indiquer la date de son arrivée et sa provenance).
    • Limiter le partage d’équipement avec d’autres exploitations agricoles.
    • Tenir un registre :
      • des déplacements d’équipement;
      • des livraisons reçues.
    • Exiger que les employés et les visiteurs :
      • portent les vêtements de protection requis;
      • se lavent les mains.

    Gestion de la santé animale

    • Acheter des bêtes qui proviennent d’un élevage en bonne santé.
    • Imposer une quarantaine d’au moins deux semaines (idéalement quatre semaines) aux animaux nouvellement arrivés ou malades.
    • Demander conseil à un vétérinaire pour choisir les vaccins et les mesures antiparasitaires appropriés.
    • Contrôler l’état de santé des animaux, au moins deux fois par jour.
    • Élaborer, avec l’aide d’un vétérinaire, un plan de santé du troupeau comprenant un plan d’intervention en cas de maladie.

    Gestion de l’exploitation

    • Vider et désinfecter les parcs ou les stalles entre deux lots d’animaux.
    • Prévoir, à intervalles réguliers, le nettoyage :
      • des bâtiments;
      • de l’équipement;
      • des véhicules agricoles;
      • des mangeoires et des abreuvoirs.
    • Procéder rapidement à l’enlèvement des animaux morts et à leur élimination loin des autres animaux.
    • Manipuler et gérer le fumier en conformité avec les recommandations territoriales et municipales.
    • Mettre en place des mesures pour protéger la ferme des animaux sauvages et de la vermine.
    • Maintenir la propriété, les bâtiments et les clôtures en bon état.
    • Acheter les aliments pour animaux, la litière, les pièces d’équipement, etc. de fournisseurs dignes de confiance.
    • Se doter d’un plan de biosécurité, le tenir à jour et prévoir des formations pour les employés.

    Liste de vérification des mesures de biosécurité

    L’utilisation d’une liste de vérification est un bon moyen d’évaluer – et d’améliorer – ses pratiques en matière de biosécurité. Bien sûr, chacun peut faire son auto-évaluation et procéder aux améliorations qu’il juge nécessaires.

    Toutefois, il est encore plus intéressant de faire cette évaluation en collaboration avec le vétérinaire (ou de lui demander de la réviser), lors de la visite sanitaire.

    Obtenir la liste de vérification des mesures de biosécurité

    Pour obtenir de plus amples renseignements sur la biosécurité, consultez le document Biosécurité à la ferme.


  4. Maladies des animaux d’élevage

    Avec le temps, certaines maladies évoluent et d’autres peuvent apparaître. Il est donc important, pour les vétérinaires comme pour les éleveurs, de se tenir informés sur le sujet.

    Virus de la grippe aviaire

    Le gouvernement du Yukon a confirmé la présence du virus de la grippe aviaire chez des oiseaux migrateurs sauvages dans le territoire.

    Renseignez-vous sur la façon dont vous pouvez protéger les animaux d’élevage et de compagnie de la grippe aviaire.

    Fièvre charbonneuse

    • Aucun cas de cette maladie n’a été déclaré au Yukon.
    • Le risque qu’une épidémie survienne au Yukon est très faible.  
    • La mort d’au moins deux ruminants (ou chevaux) en moins de 48 heures est suffisante pour justifier des tests de dépistage.
    • Lorsqu’on présume que la mort d’un animal est attribuable à cette maladie, il ne faut pas toucher ni déplacer la carcasse.

    Que faire lorsque l’on suspecte un cas de fièvre charbonneuse?

    Téléphonez au 867-667-5600 ou, sans frais au Yukon, au 1-800-661-0408, poste 5600. Un inspecteur en santé animale ou un vétérinaire examinera la carcasse et effectuera des tests, sans frais pour l’éleveur.  

    Consultez la fiche sur les mesures de protection contre la fièvre charbonneuse (en anglais).

    Encéphalopathie des cervidés

    L’encéphalopathie des cervidés (EC) est une maladie progressive fatale qui touche les cervidés, notamment :

    • le wapiti;
    • l’orignal;
    • le cerf mulet;
    • le renne ou le caribou;
    • le cerf de Virginie.

    Causée par une protéine anormale appelée prion, l’EC est très semblable aux maladies ci-dessous :

    • fièvre aphteuse chez le mouflon et la chèvre;
    • encéphalopathie spongiforme bovine (ESB);
    • maladie de Creutzfeldt-Jakob chez l’homme.

    Contrairement à l’ESB, l’EC n’a été reliée à aucune maladie diagnostiquée chez les personnes qui consomment la viande d’animaux infectés. À ce jour, elle n’a été détectée chez aucun cervidé sauvage ou d’élevage au Yukon, mais des programmes de surveillance sont en cours.

    Le gouvernement du Yukon a mis en place un programme de surveillance obligatoire de l’EC. Et il exige que des tests soient réalisés sur tous les cervidés d’élevage qui meurent ou sont abattus afin de détecter la présence de l’EC. La surveillance a débuté en 2001 et aucun cas d’infection n’a encore été détecté dans les élevages de gibier du territoire.

    Les éleveurs peuvent participer au programme de certification des troupeaux pour l’EC du gouvernement du Canada, qui est administré par la Direction de l’agriculture. Les éleveurs qui satisfont aux exigences se voient attribuer un niveau de certification qui correspond au niveau de risque de présence de la maladie dans leur troupeau. La participation à ce programme est obligatoire pour être admissible à une indemnisation fédérale si la présence de l’encéphalopathie des cervidés est confirmée dans leur troupeau. Les fermes d’élevage de cervidés suivantes participent au programme (en date du 31 décembre 2022 :

    • Eldorado Game Ranch; troupeau de wapitis, niveau A.

    Feuillet d’information sur la prévention de l’encéphalopathie des cervidés.

     
    Anémie infectieuse des équidés

    • L’anémie infectieuse des équidés (aussi connue sous le nom de « fièvre des marais ») est une maladie du sang incurable qui ne touche que les équidés (chevaux, ânes, etc.)
    • On sait que la maladie est présente au Yukon et les chevaux yukonnais pourraient aussi y être exposés dans d’autres régions du pays.
    • Les symptômes peuvent se manifester de diverses façons :
      • baisse d’énergie;
      • fatigue;
      • Dégradation de l’état corporel et faiblesse causée par l’anémie;
      • fièvre (jusqu’à 41 °C);
      • apathie;
      • perte d’appétit;
      • respiration rapide;
      • transpiration;
      • perte de poids;
      • larmoiement;
      • enflure des membres;
      • décoloration des gencives;
      • faible pouls;
      • colique ou avortement spontané.
    • Certains chevaux sont asymptomatiques.  
    • La maladie est transmise par les insectes piqueurs et l’utilisation d’outils contaminés.

    Dépistage de l’AIE

    • Le seul moyen de vérifier si un animal est infecté est de réaliser un test de Coggins sur un échantillon de son sang.
    • Les vétérinaires font analyser les échantillons par des laboratoires agréés par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA).
    • Il incombe au propriétaire du cheval :
      • de décider s’il veut soumettre son animal à un test de dépistage;
      • de payer les coûts afférents au test.

    L’attestation d’un résultat négatif au test de Coggins est souvent exigée pour participer à une activité de groupe, prendre part à un concours ou mettre son cheval en pension.

    Pour obtenir de plus amples renseignements sur le dépistage de la maladie, communiquez avec :

    • un vétérinaire;
    • l’Agence canadienne d’inspection des aliments, au 250-719-6855.


    Consultez le document Anémie infectieuse des équidés.

    Pneumonie chez les mouflons

    • Les moutons et les chèvres domestiques sains peuvent être porteurs de bactéries et de virus qui vivent dans leurs voies respiratoires. Le système immunitaire des espèces sauvages se défend mal contre ces agents pathogènes.
    • Dans l’ouest du Canada et aux États-Unis, on a assisté à des mortalités massives de mouflons d’Amérique causées par des épidémies de pneumonie. Dans les années qui ont suivies, le taux de survie des agneaux était beaucoup plus bas.
    • Le Yukon a la plus importante population de mouflons de Dall au Canada. Bien que ces animaux préfèrent les pâturages en haute altitude (au printemps et en été) et les pentes exposées au sud (en hiver), il arrive parfois que des individus s’aventurent dans des vallées où l’agriculture est pratiquée.
    • Les jeunes mouflons mâles à la recherche de partenaires pourraient être attirés par les troupeaux de moutons domestiques.

    Tout contact entre les espèces domestiques et sauvages doit être évité

    • Le gouvernement du Yukon a pris une ordonnance de contrôle en vertu de laquelle les éleveurs de moutons et de chèvres doivent :
      • faire tester leurs animaux;
      • avoir mis en place, avant le 1er janvier 2020, des mesures de confinement approuvées.
    • Les exigences relatives aux enclos seront établies au cas par cas, afin d’empêcher tout contact entre les espèces sauvages et les espèces domestiques. Les propriétaires d’animaux d’élevage devraient contacter la Direction de l’agriculture pour organiser une visite des installations en vue d’établir un plan de mise aux normes adapté aux pratiques de gestion de leur élevage.
    • Des fonds sont disponibles pour compenser le coût de la mise aux normes ou de l’installation de clôtures conformes aux nouvelles exigences.
    • Pour prendre un rendez-vous pour des tests de dépistage, les éleveurs doivent contacter la Section de la santé animale.
      • Le prélèvement et les analyses sanguines sont sans frais pour l’éleveur.
      • Si le résultat du test de dépistage de la bactérie M. Ovi est positif et que la destruction de l’animal est ordonnée, l’éleveur est admissible à une indemnisation.

    Quiconque possède des moutons ou des chèvres devrait contacter la Direction de l’agriculture ou la Section de la santé animale pour qu’on l’aide à se conformer à l’ordonnance de contrôle.  

    Déclarer un cas de maladie respiratoire

    Contactez la Section de la santé animale, par courriel, à animalhealth@yukon.ca, ou par téléphone, au 867-667-5600 ou, sans frais au Yukon, au 1-800-661-0408, poste 5600.

    Signaler qu’un animal s’est échappé

    Lorsqu’un animal (mouton, chèvre, lama ou alpaga) s’échappe, il faut en informer l’agent de développement agricole en téléphonant au 867-667-5838 ou, sans frais au Yukon, au 1-800-661-0408 et demandez qu’on transfère votre appel.

    Signaler l’observation de mouflons à proximité d’un élevage

    Ligne Info-braconnage : 1-800-661-0525

    Pour en savoir plus

    Maladies aviaires

    Les volailles malades peuvent présenter les signes suivants :

    • chute de ponte;
    • ponte d’œufs à coquille mince;
    • refus de quitter le nid;
    • perte d’appétit;
    • enflure au niveau de la tête, du cou ou des yeux;
    • crête décolorée ou bleu noir;  
    • verrues ou croûtes sur la crête;
    • toux, râles, éternuements;
    • paralysie;
    • boiterie;
    • manque de coordination;
    • faiblesse;
    • diarrhée;
    • présence de sang ou de mucus dans les fientes;
    • liquide dans la cavité abdominale;
    • mortalité subite.

    Que faire lorsqu’une volaille semble malade?

    1. Mettez-la à l’écart des volailles saines, et manipulez-la toujours après les autres.
    2. Après avoir manipulé un animal malade ou mort, et avant de quitter les lieux ou de s’approcher des volailles saines, lavez-vous les mains et changez de vêtements et de bottes.

    Si vous observez des signes de maladie ou si vos volailles meurent :

    1. Prenez des photos ou faites une vidéo des animaux malades.
    2. Contactez un vétérinaire ou la Section de la santé animale, par courriel, à animalhealth@yukon.ca, ou par téléphone, au 867-667-5600 ou, sans frais au Yukon, au 1-800-661-0408, poste 5600. 

    Que faire en cas de mortalité?

    Consultez un vétérinaire avant vous débarrasser de la carcasse. Il vous aidera à décider s’il faut procéder à des analyses pour déterminer la cause de la mort.

    Consultez le feuillet d’information sur l’élevage de la volaille au Yukon (en anglais).

    Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’élevage de volailles saines au Yukon, consultez le Guide sur la santé des volailles (en anglais).


  5. Guides et ateliers sur la santé des animaux d’élevage

    Guides sur la santé des animaux d’élevage

    Les éleveurs du Yukon ont besoin des recevoir des informations sur la santé et les maladies des animaux propres au territoire. Les guides sur la santé des volailles, des porcs et des bovins ci-dessous vous aideront à améliorer la santé de votre élevage.

    Les guides abordent les thèmes suivants :

    • conseils relatifs à la santé;
    • conseils relatifs à la gestion;
    • biosécurité;
    • salubrité des aliments;
    • pratiques d’abattage sécuritaires;
    • animaux de reproduction;
    • reproduction et naissance;
    • description des maladies;
    • maladies à déclaration obligatoire;
    • vaccination.

    Guides sur l’élevage des animaux

    Ces guides fournissent de l’information sur l’élevage du bétail et de la volaille en fonction du climat et des conditions froides du Yukon.

    Ils traitent entre autres des sujets suivants :

    • logement et environnement;
    • aliments et nutrition;
    • note d’état corporel;
    • stratégies de santé animale, reproduction, castration, prévention des maladies, soins aux animaux malades ou blessés, euthanasie;
    • stratégies de bien-être pour la conduite, le transport et l’abattage;
    • gestion des activités agricoles.

    Ateliers sur l’élevage

    Nous organisons régulièrement des ateliers sur l’élevage pour les vétérinaires et les éleveurs. Ces activités sont publiées dans le calendrier des activités. Pour vous inscrire notre liste de diffusion, écrivez à animalhealth@yukon.ca.

    Gérer le stress en milieu agricole et surmonter la perte

    Lire la fiche de renseignements.


  6. Urgences

    Sur une ferme, on peut être confronté à toutes sortes d’urgences, n’importe quand dans l’année et sans préavis. Un plan d’urgence peut être utile pour faire face à des situations imprévues, comme :

    • un feu de forêt;
    • une inondation;
    • des conditions météo extrêmes;
    • une pénurie d’aliments;
    • une panne d’un service public;
    • un accident de transport;
    • une maladie grave ou le décès de la personne responsable des soins aux animaux.

    Consultez le guide pour se préparer aux situations d’urgence à la ferme pour concevoir le plan qui vous permettra d’assurer la sécurité de votre propriété et de votre bétail en cas d’urgence.


Renseignements 

Si vous avez des questions concernant le Programme de services vétérinaires (solde restant de votre allocation, inscription, etc.), contactez la Section de la santé animale par courriel, à animalhealth@yukon.ca, ou par téléphone, au 867-667-5600 ou, sans frais au Yukon, au 1-800-661-0408, poste 5600.